Vak..sins, facteur d’autisme ?

Après la publication de mon article sur les chiffres récents de prévalence de l’autisme, Lionel, un lecteur, m’a envoyé un texte dont j’ai repris divers éléments qui m’ont semblé pertinents (avec son autorisation).

Alors que les personnes avec autisme en Amérique n’étaient que 1 sur 10 000 en 1970, voilà les taux en 2016 : 1 enfant autiste sur 36 entre 3 et 17 ans (2.76%) et jusqu’à 1 sur 28 (3.63%) chez les garçons aux USA. (R)

A cette prévalence qui explose, on entend souvent dire que cette augmentation est simplement due à un meilleur diagnostic. Mais des études montrent que ce n’est pas le cas.

Dans une étude de 2014, Cynthia D. Nevison dit : « 75 à 80% de l’augmentation de l’autisme depuis 1988 est due à une augmentation réelle du trouble plutôt qu’à un changement des critères de diagnostic. » (R)

Des études génétiques versus environnement

Une étude de Joachim Hallmayer et al faite chez des jumeaux dizygotes ou monozygotes avec troubles autistiques confirme l’influence dominante des facteurs environnementaux et une susceptibilité génétique modérée. (R)

L’étude de Cynthia D. Nevison a montré que la plupart des toxines environnementales examinées présentent des tendances temporelles plates ou décroissantes qui présentent une faible corrélation avec l’augmentation de l’autisme. Certaines d’entre elles, dont le plomb, les pesticides organochlorés et les émissions de véhicules, présentent des tendances fortement décroissantes. Parmi les toxines suspectes étudiées, les éthers diphényliques polybromés (retardateurs de flamme), les adjuvants aluminiques et l’herbicide glyphosate présentent des tendances à la hausse qui sont en corrélation positive avec l’augmentation de l’autisme.

L’étude KIGGS

L’enquête d’Angelika KOGEL en collaboration avec l’Institut Koch, l’étude KIGGS, révèle que les problèmes prédominants chez les vaccinés sont : lunettes, scolioses, orthophonistes, etc. Soit plus de défaillances du système nerveux et cérébral. Ce qui est très grave au regard de la montée irrépressible des problèmes tels que la montée de l’autisme.

Je vous invite à lire l’étude (en français) en suivant ce lien

Angelina Kogel, étude KIGGS

L’autisme n’est effectivement pas seul concerné. On voit aussi dans cette étude que les retards du développement et les diagnostics de déficience intellectuelle autre qu’un trouble du spectre autistique explosent !

Cerise sur le gâteau : « La réceptivité aux maladies infectieuses augmente à cause des vaccins ». On aurait espéré qu’au moins les vaccins permettent de protéger des infections. Mais les enfants vaccinés souffrent plus de pneumonies et d’otites.

L’exemple de l’Irlande

Sans obligation vaccinale, mais avec de nombreuses facilités vaccinales (notamment des programmes de vaccination à l’école), l’Irlande bat les USA et la France quant à la couverture vaccinale mais elle détient un autre triste record : le taux de prévalence de l’autisme (inclus le syndrome Asperger) est de 4,2 % chez les enfants d’âge scolaire. (R) (R)

En 2019/2020, le taux de prévalence le plus élevé enregistré était de 5,1 % pour les enfants de la 7e année primaire (enfants âgés de 10/11 ans), et le plus faible était de 2,0 % pour ceux de la 1ère année primaire (enfants âgés de 4/5 ans). Résultats similaires dans mon article précédent qui laissent supposer que l’on devient autiste avec le temps, ce qui laisse perplexe quant à la cause uniquement génétique.

Pour les garçons, on est passé de 1.9% à 6.4% entre 2008/2009 et 2019/2020. Au cours de 2019/2020, le taux de prévalence de l’autisme le plus élevé, 6,9 %, a été observé dans la population d’âge scolaire des écoles de Belfast.

Être bon élève au niveau couverture vaccinale, leur vaut-il leur triste record d’enfants avec autisme ?

Vaccinés versus non vaccinés

Une étude récente de Hooker et Miller basée sur des données provenant de trois cabinets médicaux aux États-Unis observe un odd ratio plus élevé dans le groupe vacciné par rapport au groupe non vacciné pour les retards de développement, l’asthme et les infections de l’oreille. Des études supplémentaires sont nécessaires pour comprendre l’ensemble des effets sur la santé associés à la vaccination des enfants.

J’avais déjà écrit un article sur ce sujet, où vous trouverez d’autres références

Les enfants non vaccinés ont moins de troubles du développement, d’otites

Les données actuelles devraient nous pousser à faire plus de recherches, hélas, au lieu de cela, des stratégies plus vigoureuses sont employées pour atteindre les taux de couverture vaccinale les plus élevés possibles. Ce qui entraîne la perte de populations non vaccinées qui sont vitales en tant que groupes de contrôle pour surveiller scientifiquement les véritables taux d’événements indésirables associés à la vaccination. 

Et les chercheurs qui travaillent sur le sujet sont littéralement bannis.

Bien dommage pour nos enfants et les générations futures que la vaccination ne se discute pas. Ce qui montre que le bon sens est réellement une espèce en voie de disparition.

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