Née en 1970, la vie de Fedora Gellwen n’a pas commencé sous les meilleurs auspices. Heureusement, elle a rapidement fait connaissance avec celle qui resterait pour toujours sa plus grande amie, la Nature, qui lui a offert son immensité comme havre de paix.
Elle a toujours dû composer avec le mal-être qu’elle a attribué dès le début à un manque de connaissance de ses origines. Elle s’est alors lancée dans une inlassable quête d’identité qui l’a menée jusqu’en Norvège.
Ces difficultés ont évidemment eu un impact sur ses études et sa vie professionnelle, avec tout le long, un goût pour les sciences, surtout la biologie humaine et un appétit d’apprendre, de comprendre, de découvrir…
À l’âge de 26 ans, lorsqu’elle est allée vivre en Norvège, elle a vu une forte dégradation de sa santé tant physique que psychique. Femme Asperger avec troubles de l’humeur, atteinte de fibromyalgie, elle a été suivie par la psychiatrie durant dix ans et mené une psychanalyse qui a duré tout autant. Des décompensations l’ont menée à être internée à deux reprises.
Durant toutes ces années, elle n’a eu de cesse de vouloir comprendre pourquoi elle souffrait de tant de problèmes de santé, sans cesse attribués par la médecine, à sa mauvaise acceptation de son adoption.
Elle a fini par comprendre, au terme de recherches incessantes, qu’avec ses problèmes génétiques, les vaccins et notamment les adjuvants aluminiques ne lui voulaient pas que du bien et qu’ils étaient grandement responsables de cet état de santé lamentable. Alors, une fois que l’on connaît la cause réelle de tous ses troubles, il ne reste qu’à agir ou mourir. Elle a fait confiance à la nature et écouté Hippocrate qui disait : « Que ton aliment soit ton seul médicament ».
Vous pouvez lire ici : Sa lutte contre la douleur physique et psychique
Elle s’est rendue compte que l’émergence de tant de maladies n’étaient pas due au hasard et a alors décidé de témoigner afin d’informer des réels risques que nous sommes en train d’accepter de prendre pour notre santé et celles des générations futures.
Un premier livre « Pour que la roue tourne au nom du père », publié en 2012, témoigne de la lutte qu’elle a menée pour retrouver son intégrité. Il a été publié afin de rendre l’espoir, à ceux à qui l’on fait croire que la maladie est une fatalité et pour qu’enfin, nous rendions à la nature la place qu’elle doit tenir dans nos existences.
Ce livre est la partie de l’action que l’auteure mène en solitaire, mais Fedora soutient aussi l’association E3M « Entraide aux malades de myofasciite à macrophages » avec notamment deux grèves de la faim effectuées l’une en décembre 2012 et l’autre été 2013, en compagnie d’autres victimes des adjuvants vaccinaux.
Depuis 2012, elle poursuit ses recherches concernant les liens entre les maladies dites de civilisation, l’intoxication aux métaux lourds, les co-infections et plus particulièrement la candidose et les intolérances alimentaires. Elle a écrit de très nombreux articles sur ce sujet large qu’elle publie sur ce site.
En 2014, après avoir récupéré la capacité de marcher, elle s’en est allée faire de la randonnée en solitaire en pleine toundra dans les grands espaces norvégiens, afin de remercier sa grande amie, la Nature. Dans un second livre « Vivante Grâce au Ciel ou à la science ? », sortie en juillet 2019, plus qu’un récit de randonnée, Fedora nous offre une analyse différente de la santé, de l’énergie, de notre condition d’être humain, de la vie, de la foi…
Fedora Gellwen vous propose aussi des tests d’intolérances alimentaires Alcat, de carences nutritionnelles