Je m’appelle Gwénola Le Dref, je suis née en 1970, j’ai grandi à l’île de Groix, en Bretagne, dans ma famille adoptive.
L’enfance, l’adolescence :
Enfant dynamique même exubérante, détestant l’injustice, plutôt sauvage, j’étais déjà très attachée à la nature. J’avais déjà des hallucinations dont je ne parlais à personne de peur que ce soit la cause de mon abandon, en plus de tout un tas de douleurs, genre maux de tête, troubles digestifs, douleurs musculaires… d’ailleurs chaque vaccin me mettait à terre pour plusieurs jours.
Une adolescence compliquée, ponctuée par des troubles du comportement, allant de l’agressivité à la violence, j’avais un fort désir de connaître mes origines. Ceci dit, j’étais une bonne élève et avais un « bon fond ».
Le lycée où j’ai étudié les sciences a été difficile, je m’adaptais mal et avais de plus en plus de difficultés à comprendre les cours. A 22 ans, je me suis lancée dans une quête d’identité et voyant que mon dossier d’adoption m’était refusé, j’ai choisi d’aller découvrir la Norvège, pays supposé de mes origines. J’ai remonté le pays en stop et en marchant beaucoup aussi. L’expérience fût fantastique et inoubliable. J’ai eu envie de connaître mieux le pays et ai décidé d’aller y travailler.
La Norvège et le vaccin anti-hépatite B :
La grande campagne vaccinal anti hépatite B battait son plein et sous conseil de mon médecin, j’ai reçu avant de partir les deux premières injections. Deux mois plus tard, mon corps n’était plus que douleurs, tétanisé, c’était une douleur intense et continuelle. Depuis cette date, ma santé physique et mentale n’a cessé de se dégrader. J’avais de moins en moins le contrôle de moi-même. En fait, je souffrais d’un trouble bipolaire de type 1, très prononcé avec une irritabilité, de l’agressivité, de la violence parfois, surtout verbale. J’ai du prendre de lourds traitements médicamenteux sans grand succès, si ce n’est de m’abrutir, de rendre ma vie d’une tristesse insoutenable, sans compter les effets délétères sur ma santé physique. Je n’étais donc plus que souffrance, tant physique que psychique.
Heureusement, que j’avais mon rayon de soleil, ma fille née en 1999. J’ai été toutes ces années suivi par la psychiatrie, et même fait deux séjours à l’hôpital psychiatrique, chaque fois à ma demande car j’avais pris peur de la « bête » qui m’envahissait et que je n’étais plus sûre de savoir, ni pouvoir contrôler. J’avais peur qu’elle me fasse commettre des actes irréparables, comme me donner la mort ou pire encore… assassiner, qui sais-je peut-être même des êtres que j’aimais.
Les symptômes :
Mes problèmes de santé ont bien-sûr ponctués ma vie, tant sociale, professionnelle, que familiale.
Voici une petite liste des problèmes de santé que j’attribue en grande partie aux effets des vaccins : douleurs musculaires et articulaires, maniaco-dépression, fatigue chronique, bronchique chronique, sinusite chronique, otite récidivante, hyperacousie, tête qui gratte, troubles digestifs, douleurs abdominales, érythème noueux, goitre, eczéma sur le coude gauche, syndrome sec, sensation d’irréalité, angoisses terribles, irritabilité, idées noires et suicidaires, muguet sur la langue, vision nocturne nulle, hyperthermie, abcès dans le dos, peau sèche, mauvaise estime de soi, troubles du spectre autistique dans l’enfance… et d’autres que j’oublie certainement
Le parcours du combattant:
J’ai vu de nombreux médecins, rhumatologue, gastro-entérologue, spécialiste de la douleur, oto-rhino-laryngologiste, stomatologue mais aussi homéopathe, ostéopathe, essayé la sophrologie, le yoga, la méditation. Dix ans de suivi psychiatrique et autant de psychanalyse, j’ai aussi tenté la thérapie cognitive-comportementale.
Je clame depuis longtemps que je ne suis pas bipolaire et que mes douleurs ne viennent pas de ma tête. Je me doute depuis longtemps du lien avec le vaccin, mais tous les médecins se moquent de moi. Je manque de confiance en moi et le combat n’est vraiment pas équitable.
En septembre 2010, le stomatologue m’a conseillé d’aller voir un podologue. On a discuté longtemps. « Où en êtes vous avec les vaccins ? ». Je lui réponds que « justement, c’est depuis le vaccin hépatite b que je galère mais personne ne veut m’écouter ». Il me dit qu’il faut que je fasse cette biopsie musculaire dont j’avais connaissance grâce à internet. Je pars alors en quête d’un médecin qui veuille bien me faire une ordonnance. Nouvelle galère mais j’ai fini par trouver.
Le lien avec l’aluminium des vaccins:
En 2011, alors que j’étais aide de laboratoire dans l’éducation nationale, j’ai du me résigner à la retraite pour invalidité. À la même époque, j’ai fait un lien entre mes problèmes multiples de santé et l’aluminium contenu dans les vaccins et obtenu un diagnostic de myofasciite à macrophages, j’ai alors rejoint E3M, l’association d’entraide aux malades de myofasciite à macrophages. Cette maladie est due à l’aluminium contenu dans les vaccins. Je n’étais donc pas dingue. Mes différents troubles viennent bien de l’intoxication aux métaux lourds et plus particulièrement de l’aluminium contenu dans les vaccins.
Une vidéo de Terre TV pour un petit résumé sur le sujet de l’aluminium des vaccins et la myofasciite
Les débuts de l’alimentation hypotoxique:
À la même époque, afin de ne pas avaler plus d’aluminium et autres métaux lourds, je commence à m’intéresser à l’alimentation hypotoxique. Je commande des paniers de légumes bio à Groix. Je ne suis pas un régime mais diminue le pain et les yaourts, j’avais lu que le gluten et le lait pouvait poser problème. J’ai cessé presque totalement l’alcool, plus envie. En fin d’année, un seul symptôme mais un symptôme de taille, était en grande régression, mon état psychique s’était amélioré. Alors, j’ai approfondi mes recherches sur l’alimentation.
En juin 2011, je décide d’essayer sans gluten et sans caséine, le lendemain de l’arrêt je me sentais mal, genre grippe. Je me tourne une nouvelle fois vers internet pour voir si cela pouvait être lié et, oui, ils en parlaient, j’étais en crise de manque et j’ai donc persisté sur cette voie. À force de chercher, j’ai trouve un lien entre gluten, métaux lourds et candidose…
Prise en compte de la candidose :
Depuis, je n’ai eu de cesse de trouver des solutions pour aller mieux et grâce à mes lectures, j’ai pu faire un autre lien, entre intoxication aux métaux lourds en général, intolérances alimentaires et candidose chronique. J’ai changé radicalement d’alimentation pour mon plus grand bonheur. Je me suis éloignée de mes symptômes grâce à cette alimentation différente. J’ai pu arrêter les traitements psychiatriques. J’ai enfin découvert la vie, celle qui m’avait tant fait défaut depuis toujours. Et oui, mon côté sauvage était en fait un côté autistique. Par contre, si je ne prends pas soin de ce que je mange c’est la rechute. Tout ceci est bien compliqué, cette nouvelle alimentation n’a pas facilité ma vie sociale (enfin surtout au départ car maintenant les gens se sont habitués) mais par exemple si je mange du gluten et bien je change littéralement de dimension, je retourne dans ce monde où je ne vois plus que du noir, où la vie est si insupportable … les métaux lourds, les vaccins ont détruit mon système immunitaire qui sur-réagit au moindre stimuli, même un aliment tout à fait anodin peut créer une réaction complètement démesurée (moins maintenant mais je reste très sensible).
L’espoir :
Mon histoire va bien au-delà de ce qu’un malade pourrait espérer. D’ailleurs, pas besoin d’être malade pour avoir besoin de retrouver l’espoir mais je sais que fort probablement si vous êtes ici c’est que vous avez quelques soucis de santé.
Mon expérience va vraiment au-delà d’un simple éloignement des symptômes, c’est une belle histoire de développement personnel.
Et tout ceci, sans aucun complément et encore moins de traitements médicamenteux, toujours uniquement en écoutant Hippocrate « Que ton aliment soit ton seul médicament ».
Je vous invite à lire mon autobiographie, « Pour que la roue tourne au nom du père »
pour vous convaincre que le pouvoir de guérison est en vous et que vous avez les capacités de :
Redevenir votre propre maître !
Gwénola Le Dref