Tous les vaccins peuvent donner des effets secondaires mais deux d’entre eux semblent faire le plus de victimes. Vous l’avez peut-être remarqué vous aussi, les vaccins qui semblent donner le plus d’effets secondaires sont le vaccin anti-hépatite B (ceux le contenant aussi) et celui contre le papillomavirus.
Les levures
Mon histoire médicale personnelle m’a poussée à m’intéresser conjointement tant à l’aluminium des vaccins qu’aux levures et plus particulièrement la candidose.
Une autre levure, la Saccharomyces cerevisiae est utilisée depuis l’Antiquité pour la fabrication de boissons fermentées, telles que le kéfir, la bière ou le vin ou encore en boulangerie. Elle se trouve sur certains fruits, ainsi ils fermentent naturellement. Cette levure est aussi utilisée en complément alimentaire. Saccharomyces cerevisiae était considérée comme une levure sans danger pour l’homme mais de nouvelles études montrent qu’elle peut être un agent pathogène opportuniste pour l’homme. (R)
Cette levure ferait partie de la flore intestinale chez 6% de la population mais en consommant des produits fermentés, l’introduction dans les intestins est permanente. (R) Notons que l’incidence des infections fongiques ne cessent d’augmenter. (R)(R) Même si cette cause reste ignorée chez les malades chroniques.
Vaccins anti-hépatite B et papillomavirus
Pourquoi parler de vaccins et de levures conjointement ?
Parce que les deux vaccins cités ont la particularité de contenir des levures génétiquement modifiées, du type Saccharomyces cerevisiae. Depuis plusieurs années, je pense qu’il y a un lien entre les vaccins, la candidose, les intolérances et j’en ai déjà parlé dans certains articles mais je n’ai encore jamais trouvé d’articles sur le sujet qui pourraient venir faire référence pour étayer ma théorie mais il y a quelques jours une personne m’a envoyé un article de Tetyana Obukhanych, docteur en immunologie, qui traite exactement de ces liens.
Mise à jour novembre 2023 : Hélas, la censure a fait disparaître l’article de Tetyana alors n’hésitez pas à faire une recherche pour voir son travail
La vaccination permet de préparer le système immunitaire à une possible future invasion de pathogènes, tel que le virus de l’hépatite B ou le papillomavirus. Mais de ce fait, on ne prépare pas le corps seulement aux virus mais aussi aux levures contenues dans les vaccins (ou autre élément d’ailleurs, comme l’œuf par exemple). Dans certains vaccins anti-hépatite B, il y a même potentiellement 1000 fois plus d’antigène de levure (5 mg) que d’antigène viral réel de l’hépatite B (5 mcg).
Si le vaccin recombinant contre l’hépatite B à base de levure n’a visiblement pas augmenté les réactions allergiques de type IgE (celles testées chez les allergologues) Tetyanah Obukhanych explique qu’un nouveau type d’allergie alimentaire, non médiée par les anticorps (IgE) mais utilisant un mécanisme à médiation cellulaire de type TH2, entraîne des allergies alimentaires gastrointestinales (GIFA en anglais). Elle a commencé à s’intéresser au sujet lorsqu’elle a découvert les constituants des vaccins, des années après la fin de sa formation de médecin (cette part n’étant pas un sujet traité) elle s’est rendu compte que ces douleurs gastrointestinales provenaient possiblement d’une immunisation à la levure Saccharomyces cerevisiae. En supprimant les levures de son alimentation, les douleurs disparaissent.
Ces nouvelles formes d’allergies ne sont pas prises en compte dans l’évaluation de la sécurité des vaccins, les anciennes études sont donc obsolètes.
Ces allergies sont de plus en plus fréquentes, notamment chez les enfants et l’atteinte n’est pas uniquement digestive.
Les symptômes digestifs les plus fréquents sont le transit accéléré ou ralenti, diarrhée ou constipation ou alternance, le reflux gastro-œsophagien, des vomissements, une vidange gastrique retardée, ou le fameux syndrome du côlon irritable.
Les symptômes extra-digestifs sont aussi nombreux tels que fatigue, aphtes, douleurs articulaires ou hypermobilité ; perturbation du sommeil, sueurs nocturnes, maux de tête ou énurésie. Et la liste peut s’allonger. (R)
En vaccinant les bébés avec des vaccins recombinants, théoriquement, on les prépare à réagir aux levures lorsqu’on introduit une alimentation solide, ce qui pourra alors produire des douleurs abdominales et des changements de comportements.
L’intolérance à la caséine, protéine des produits laitiers, elle aussi de plus en plus fréquente, pourrait aussi être liée aux vaccins, certaines contaminations ayant été détectées suite aux chocs anaphylactiques survenus chez des enfants allergiques au lait de vache. (R)
Les tests habituellement utilisés, examinant les anticorps, ne sont pas en mesure de détecter ce genre de réaction allergique mais l’Alcat test contrôle justement les réactions cellulaires.
Si à ces faits, vous ajoutez que :
« Face à une candidose systémique, pour accélérer les cultures afin de décider du meilleur traitement, les biologistes utilisent des plaques en aluminium. » Extrait de VIVANTE Je vous laisse imaginer ce que peut donner ce mélange dans le corps de nos enfants. On immunise contre des levures qui en réponse pourraient devenir virulentes et on ajoute aussi de l’aluminium, neurotoxique pour nous mais qui accélère la prolifération des levures.
Il serait temps de cesser ces jeux d’apprentis sorciers.
Et comme conclue le Docteur Tetyana Obukhanych : « Il est temps que nous reconnaissions la cause de la détresse gastro-intestinale actuelle dans la population pédiatrique et que nous y mettions un terme. »
Fedora Gellwen