Voici un petit témoignage de Maria qui souffre de myofasciite à macrophages, maladie due à l’aluminium des vaccins. Nous nous sommes rencontrées lors de la seconde grève de la faim que nous effectuions avec nos ami-e-s d’E3M (entraide aux malades de myofasciite à macrophages) été 2013.
Deux grèves de la faim (première en décembre 2012) qui ont permis d’obtenir un premier financement de 150 000 euros pour la recherche et un second très récent de 400 000 euros.
Maria a tout de suite adhéré à l’idée que l’alimentation pouvait l’aider et s’est lancée d’abord dans un régime Seignalet. Quelques mois plus tard, elle ouvrait un restaurant mais elle n’avait sans doute pas bien mesuré ce qu’elle explique ci -dessous.
En 2017, elle a franchit une nouvelle étape et s’est offert un Alcat test qui a été, dit-elle, une nouvelle étape avec des nouveaux gains sur sa santé.
Aujourd’hui, je suis vraiment très heureuse car elle vient de reprendre ses études alors que la maladie lui avait coupé l’herbe sous le pied et empêché de poursuivre son parcours universitaire.
Voici ce qu’elle a répondu aux félicitations que je lui adressais :
Merci pour ton bel exemple à toi aussi… Tout çà est bien la preuve qu’on peut très grandement amoindrir les effets de l’empoisonnement… à condition d’offrir à notre organisme la possibilité d’épurer !! La contre-attaque ne peut être que le bannissement à vie de tous les toxiques, sous toutes les formes, qui entraîne ce miracle… auquel nous pouvons tous accéder : l’homéostasie, la capacité naturelle et spontanée du corps à se nettoyer, se régénérer, se guérir… Bien sûr il nous faut composer avec la nouvelle donne, car le microbiote a changé, et de ce fait plus rien en effet ne sera jamais plus comme avant… mais « composer avec cette nouvelle donne », cad ne plus donner à notre corps ce qu’il n’est dorénavant plus capable de gérer, c’est se donner la possibilité de retrouver une vie acceptable… et à mon sens, tous comptes faits et même si l’inversion de la courbe prend plusieurs années, le jeu en vaut vraiment la chandelle.
Respecter la nouvelle donne (même si elle est injuste), c’est prendre en considération que notre organisme ne peut plus gérer les mêmes molécules qu’avant, tout d’abord parce-qu’il est « full », parce-que l’immunité est différente, et parce-que de toute façon le microbiote a changé, et ce presque irrémédiablement… Mais on peut vraiment améliorer les choses, pour peu qu’on mette nos efforts dans la bonne direction (notamment alimentaire)… pour que la roue tourne !! 😉😉😉
Et enfin, peut-être que « ne pas accepter la maladie » ce qu’on m’a souvent reproché, et qui est vrai dans un sens, permet ce pas. Le déni d’être devenue une « malade » mais l’acceptation totale de « la nouvelle donne ».