Pourquoi la propagande industrielle et l’ingérence politique ne peuvent dissimuler le rôle indéniable joué par l’exposition de l’être humain à l’aluminium sur les maladies neurodégénératives, notamment la maladie d’Alzheimer.

Christopher Exley

Résumé

À l’ère de l’aluminium, il est clairement dérangeant que l’aluminium, le métal le plus profitable au monde, puisse être impliqué dans la maladie humaine. C’est embarrassant, parce que depuis environ 100 ans, les êtres humains ont récolté les fruits du métal le plus abondant de la croûte terrestre, sans envisager sérieusement les conséquences potentielles sur la santé humaine.

L’industrie de l’aluminium est un pilier des pays développés et en voie de développement, et indépendamment de la tyrannie de l’exposition humaine à l’aluminium, il ne peut être contesté sans conséquences importantes pour les entreprises, les économies et les gouvernements. Toutefois, peu importe l’importance de la dépendance ou le fait qu’il soit impensable de nous passer de ce métal, la science continue à documenter, sans doute trop lentement, une charge corporelle en aluminium en plein essor chez les êtres humains.

Ici, je montrerai qu’il est inévitable, à la fois aujourd’hui et dans l’avenir, que l’exposition d’un individu à l’aluminium ait un impact sur sa santé et contribue, si ce n’est déjà le cas, à provoquer des maladies chroniques telles que la maladie d’Alzheimer.

C’est la conséquence logique, aussi dérangeante soit-elle, de vivre à l’ère de l’aluminium.

Vous trouverez la totalité de cette publication traduite par mes soins dans ce document pdf.
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