Témoignage de Stéphanie : surpoids, spasmophilie,fatigue, verneuil

Le changement d’alimentation a changé ma vie !
Je ne m’y intéressais pas, à part pour les régimes amaigrissants car j’ai toujours été en surpoids, avec des périodes d’obésité.
Complètement inexpliqué tout ça ! Chaque analyse, chaque prise de sang était idéale !
Mais je me prenais 10 kgs en un mois !
Mais si le docteur le disait, que j’étais en pleine santé….
Sauf que… j’ai été amené à faire des recherches pour mon fils.
Et de fil en aiguille, telle une tricoteuse, j’ai appris pas mal de choses.
Sans doute que mon corps était bien plus mal que les médecins le disaient.
Rien de méchant d’après eux, mais le surpoids, arthrose cervicale à 30 ans, hernie discale, maladie de Verneuil (des boutons mal placés et purulents), maladie de Bouveret (crise de rythme cardiaque sur les coeurs jeunes et sains, autrement dit, ils en savent rien !), spasmophilie (encore un mot générique pour dire qu’ils ignorent les causes)…. fatigue, fatigue, fatigue.
Donc, il y a 1 an et 4 mois, je commence par des suppléments de
probiotiques, parce que je sortais d’antibiotiques.
Je note que je vais bien à la selle. Depuis mon accouchement c’était devenu un jour oui et un jour non.
J’adhère aux probiotiques.
Il y a 1 an et 1 mois, j’arrête le lait de vache. J’ai lu des trucs, rire !
Et les produits laitiers.
Très rapidement mes douleurs d’arthrose, cervicale mais aussi le long de la colonne car en 10 ans ça a progressé.
Je peux ranger dans le placard mon roller aux huiles essentielles, efficace mais plus nécessaire !
Je décide il y a 1 an, de limiter la viande et le poisson. Pourquoi ? J’ai lu que c’est acidifiant et que ce n’est pas utile.
Me reste donc 3 repas/semaine, c’est surtout histoire que cela soit
convivial en famille.
Je perds du poids. 8 kgs en 6 mois. Là encore, personne ne se l’explique. Pas même moi, surtout pas moi !
J’arrête mon médicament pour le coeur. Je n’ai plus envie. Je n’en ressens plus le besoin, je n’arrive pas à l’expliquer, je n’ai plus peur d’avoir une crise, crise qui pourrait me mener à une opération à coeur ouvert pour remettre le coucou en place.
Arrive Noël, période de petits gâteaux alsaciens, au beurre, au sucre et au blé.
Reprise de poids. En même temps, c’est noël hein !?!
J’arrête les probiotiques. Stagnation de poids.
Je deviens végétarienne, végétalienne, avec tout ce que j’ai vu sur les abattoirs j’en peux plus.
Mais je cuisine de la viande ou du poisson pour les autres.
J’ajoute des jus de légumes à mon quotidien. Un acheté bio en brick. Bah, j’ai pas toujours le temps non plus hein !?!
Bref… la courbe de poids descends à nouveau, au ralenti. Mais elle
descend.

Vacances d’été. 10 mois après l’arrêt du lait et des produits laitiers je
me lâche un peu. Vraiment un peu. Une lichette de lait dans mon café le matin. Quelle horreur ! Je l’ai payé cher, heureusement que j’avais encore mon roller aux huiles essentielles !
Et au mois d’août, je comprends par la pratique douloureuse que je n’ai jamais écouté mon corps !
Je n’en avais pas les moyens, pas les connaissances. Je croyais mon médecin !
Une terrible nouvelle me tombe dessus, et je fais une acidose !
Je suis une éponge d’empathie. Alors voilà, j’ai appris à gérer et puis
certaines nouvelles je sais pas quoi en faire, les bras m’en tombent.
Oui les bras m’en tombent. Acidose : mal dans tous les muscles ! Ah moi, sportive dans l’âme, voilà que j’arrive à les localiser ces muscles lol !
J’ai tout simplement été bernée, pendant des décennies, on m’a appris à écouter et croire le docteur.

Avez-vous vu le programme de la faculté de médecine ? Ils prennent des symptômes et donnent des médicaments pour les traiter. Point.
Là j’avais besoin de me recentrer, d’évacuer une douleur mentale. Pas d’un cachet.
Moins 12 kgs en 15 mois. Il en reste pour quelques décennies. Mais j’ai appris à manger sain, bon et goûtu, parce que je suis gourmet, bien plus que gourmande.

Avez-vous vu l’alimentation ? La bonne bien sûr. Elle traite tout le corps. Oh bien sûr que ce n’est pas facile tous les jours ! Oh bien sûr qu’il y a des écarts. Payés cher !
Depuis peu j’ai des exemples en tête quand je suis face à ce que j’aime et que mon corps n’aime pas.
Le principal est la mauvaise nouvelle d’août. Un bébé de 22 mois qui a un cancer des glandes surrénales.
Mais comment est-ce possible ? Le facteur chance ? Le facteur malchance ?
Après avoir beaucoup lu, moi qui détestait la biologie ça fait 16 mois que je trempe dedans, et mis en pratique quelques conseils, non, ni chance ni malchance. Nourrir son corps pour de vrai, pour ses besoins, pas pour les envies dictées par le cerveau, ou disons plutôt nos intestins !
Aujourd’hui je souhaite à tous ceux qui ont besoin d’espoir et parfois de temps de trouver l’équilibre intérieur par l’assiette, pas par le
médicament.